Publié le 29 Avril 2022
Réaliser un diagnostic de non-présence de punaises de lit pour les locations saisonnières avait été proposé en octobre 2020. Le gouvernement vient de rejeter cette proposition.
C’est le député Guillaume Vuillet et qui avait rédigé en 2029 un rapport concernant l’habitat indigne, alertant sur la prolifération des punaises de lit. Avec la loi Elan, un critère de décence de décence du logement a été mis en place, notamment avec l’absence de nuisibles et de parasites, mais il ne concerne pas la location saisonnière. Mais ces locations, de courtes durées, favorisent la prolifération des punaises de lit. En effet, on les trouve souvent dans les bagages des voyageurs. C’est pour cette raison que le député avait souhaité la mise en place de ce diagnostic, qui donnerait son aval pour la location d’un logement sur une courte période. La ministre du Logement a indiqué, le 19 avril, qu’un tel diagnostic n’avait que peu d’intérêt.
Elle a rappelé qu’un plan d’actions contre les punaises de lit avait été lancé. De plus, la réalisation d’un diagnostic à l’entrée des lieux d’une location, de tout type, a été rejetée, pour les raisons suivantes:
Le plan d’actions mis en œuvre privilégie l’information, afin de faciliter la prévention des infestations, pour une meilleure prise en charge par les autorités sanitaires.